Les différents domaines d’exercices d’un journaliste

Si vous désirez devenir journaliste, sachez que vous avez plusieurs choix. Vous pouvez notamment devenir journaliste reporter d’images (JRI) qui vous permet d’effectuer des interviews et reportages sur le terrain en étant accompagné d’un preneur de son et d’un caméraman afin de recueillir les informations et témoignages des gens concernés et pour couvrir l’actualité. Dans ce cas, vous participerez au montage du sujet et vous devez ensuite rédiger un commentaire, puis créer la voix sur la vidéo. Sinon, vous pouvez choisir de devenir journaliste radio. Dans ce cas, vous allez réaliser des interviews par téléphone ou sur le terrain, puis vous devez monter le sujet avant de l’émettre à l’antenne. En tant que journaliste, vous êtes le responsable du flash info de la radio.

Mais vous pouvez également devenir journaliste d’agence qui a pour fonction de rédiger des dépêches qui vont ensuite être reprises par d’autres médias. Grâce au développement de la technologie, il existe aussi aujourd’hui le métier de journaliste Web que vous pouvez exercer. Dans ce cas, vous devez reprendre les dépêches des autres journalistes pour alimenter des médias audiovisuels et des sites web de journaux. Pour l’exercice de ce métier, vous avez parfois besoin d’aller sur terrain pour faire des reportages, mais en général, vous travaillez en ligne pour alimenter un site d’informations afin qu’il soit attractif. A noter qu’après des années d’expérience en tant que journaliste, vous pouvez vous spécialiser dans un domaine spécifique, par exemple l’économie, la presse jeunesse, la politique ou autre.

Les qualités et formations nécessaires pour devenir journaliste

Si vous désirez devenir journaliste, sachez que vous devez disposer de certaines qualités, à savoir une bonne culture générale, une excellente capacité d’analyse, une bonne expression orale et écrite, la curiosité, l’autonomie, la polyvalence et être débrouillard. Mais toutes ces qualités ne sont pas suffisantes, vous devez également suivre des études spécifiques et obtenir un diplôme adapté au métier. Pour devenir journaliste, vous devez notamment avoir un diplôme délivré par une école dédiée ou une université reconnue par le métier comme les CFJ-Paris, EJT-Toulouse, Celsa-Paris 4, Cuej-Strasbourg 3, EJCAM-Marseille, EJDG-Grenoble 3, IUT Nice, ESJ-Lille, IEP Paris, IUT Tours, etc. Il existe déjà des formations destinées à la profession de journaliste comme le DUT information-communication option journalisme, le Masters science politique journalisme et la Licence Pro métiers de l’information, du journalisme et de la presse.

La spéléologie en général

La spéléologie est à la fois une activité sportive et scientifique. Il s’agit d’étudier les cavités souterraines. Le spéléologue examine alors les gouffres, les cavernes, et les rivières souterraines. Il va visiter et cartographier ensuite les lieux qu’il a explorés. Il se focalise essentiellement dans les grottes naturelles formées par du calcaire.

Son domaine

D’une manière générale, la spéléologie est pratiquée dans les régions karstiques. Elle observe les cavités tectoniques et volcaniques, comme les tunnels de lave. Le spéléologue s’intéresse également à des cavités glaciaires et des siphons. Il ne s’attarde pas uniquement sur les cavités naturelles. Il y a aussi les galeries souterraines comme un canyon, une citerne ou une catacombe créés par l’Homme. Il ausculte aussi les habitats troglodytes et les carrières souterraines. Ces cavités anthropiques sont en fait appelées pseudo karstique. En outre, la spéléologie ne se pratique pas seulement dans les milieux terrestres. Elle concerne en plus le domaine aquatique. Le spéléologue en milieu aquatique est ainsi dénommé spéléoplongeur.

Côté pratique

Le spéléologue pénètre dans l’obscurité totale. Il se munit de casques, de cordes, de torche, de baudrier… Il utilise alors des matériaux de plongée pour les grottes immergées. En fait, il ne s’agit pas d’une visite touristique. La spéléologie peut être en effet dangereuse. L’exploration requiert donc du savoir-faire et de la technique. Les spéléologues entrent dans des grottes étroites avec des parois coupantes. L’intérieur de ces grottes est souvent humide et froid. Mais le vrai danger reste la montée rapide des eaux.

Les études requises

Il faut faire des études en spéléologie de niveau 3 (bac +3). Il faut aussi un diplôme d’état de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport spéléologie. Désormais, on réclame également un brevet d’état d’éducateur sportif du 1er degré en spéléologie.

Consulter les journaux

Le moyen le plus rapide de trouver des annonces légales est de les chercher dans les journaux d’une région dans laquelle l’entreprise est basée. La section juridique d’un journal contient généralement des annonces de nouveaux produits, de procès et d’autres événements dignes d’intérêt liés à une entreprise.

Vous y trouverez donc tout ce que vous recherchez sur une société. Sachez que cette dernière se trouve dans l’obligation de faire des annonces d’un quelconque changement ou d’un événement auquel sa clientèle doit être informée.

Pour information, ces journaux d’annonces légales recouvrent également une variété de journaux et de magazines : presse quotidienne, magazine professionnel, journal régional… Les principaux journaux qui publient des annonces légales se trouvent généralement dans la section économique du journal ou en ligne. Ils publient en particulier les jours précédant les vacances, lorsqu’il y a moins de nouvelles.

Aller directement sur le site de l’entreprise

L’existence d’Internet a également facilité la recherche d’annonces légales. De nombreuses entreprises ont des sites web avec une section consacrée aux actualités juridiques, qui se trouve dans le pied de page ou sur une page séparée. Vous y trouverez des informations sur le capital social, les changements d’actionnaires, les changements de direction ou les nouvelles réglementations des sociétés.

Le pied de page peut également contenir les coordonnées du service d’assistance aux actionnaires de l’entreprise, qui fournit souvent des informations sur les actions en justice en cours contre l’entreprise. Dans le cas où le site n’émettrait aucune information, vous pouvez contacter directement l’entreprise qui vous intéresse afin de vous renseigner rapidement. Une autre manière serait également de vous rendre sur le site du Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales. Vous y trouverez toutes les annonces légales enregistrées auprès des greffes.

Se rendre sur des sites spécialisés

Grâce à l’intérêt que la population porte sur Internet, il existe désormais des sites en ligne d’annonces légales comme annonces-legales.lesechos.fr. Pour consulter les annonces de ces sites, il se peut que vous deviez réaliser une inscription et payer un abonnement.

Néanmoins, il existe des plateformes qui proposent leurs services gratuitement. Elles permettent de rechercher des actions en justice et des dépôts de documents juridiques spécifiques par date et par nom d’entreprise. Elles ont mis en place des moteurs de recherche puissants et rapides permettant de retrouver une annonce. Il suffit d’entrer les bons mots clés (nom de l’entreprise, son SIREN…) et les informations apparaissent rapidement. Toute personne peut accéder à ces plateformes.

L’existence de ces sites n’est pas uniquement avantageuse pour les personnes intéressées par les activités des entreprises. Ils sont aussi favorables aux firmes. Ces dernières peuvent réduire considérablement le coût de publication d’une annonce légale. Il s’avère que le prix de parution sur Internet est largement moins cher que celui dans un journal physique. D’ailleurs, les entreprises sont désormais tenues de verser leur annonce de manière digitale outre l’annonce en version papier.

Qui sont les acteurs concernés ?

Dans le principe de fonctionnement du portage salarial, vous avez l’entreprise cliente, la société de portage et l’employé porté. Contrairement à un cadre salarial classique, l’indépendant dit salarié porté prospecte ses clients et négocie directement avec eux les conditions de ses prestations. La société de portage lui permet surtout de bénéficier des mêmes avantages qu’un salarié conventionnel, visitez le site pour plus de détails. Les deux parties se mettent néanmoins d’accord sur les différents termes du contrat de portage.

Ainsi, même si le salarié porté approche directement ses propres clients, c’est pour le compte de la société qui le porte qu’il est tenu de réaliser ses missions. Il perçoit également ses rémunérations mensuellement par l’intermédiaire de son entreprise de portage. Notez que cette dernière se verse un pourcentage sur les honoraires du prestataire. La valeur de ce pourcentage est généralement fixée à hauteur de 10 % du chiffre d’affaires du salarié porté.

Cela inclut les charges patronales, les cotisations salariales ainsi que les frais de gestion de la société de portage. Pour une entreprise cliente, le salarié porté se veut être un choix plus sûr en termes de qualité de prestation, mais surtout pour éviter les risques juridiques inhérents à la sous-traitance et qui peuvent survenir avec d’autres statuts.

Les documents contractuels nécessaires dans le portage salarial

Dans le cadre d’un portage salarial, l’indépendant porté est embauché physiquement par l’entreprise de portage. En ce sens, différents contrats sont établis pour définir les modalités de règlement et d’exécution des missions du salarié porté. La convention de portage est le document contractuel qui lie l’indépendant à l’entreprise de portage salarial. Il doit mentionner les termes inhérents aux conditions de collaboration entre les deux parties (recherche de missions, facturation, rémunération de l’indépendant, honoraires attribués à la société de portage).

Lorsqu’il décroche un marché, le salarié porté signe un contrat de mission. Dans ce document sont présentés la nature de la mission, sa durée, le rythme de travail du prestataire ainsi que le montant de la prestation, les responsabilités juridiques de chacun, les modalités de paiement et les frais divers (professionnels et missions). C’est lorsque ces deux documents sont signés que le salarié porté obtient son contrat de travail pour la mission qu’il a décrochée.

Comment se déroule une mission en portage salarial ?

Vous devez entrer en contact avec les entreprises susceptibles de faire appel à vos services et mener les négociations quant au tarif, à la durée, aux objectifs, etc. La société de portage n’intervient aucunement dans les échanges entre le salarié porté et son futur client. Une fois les négociations commerciales terminées, vous établissez directement, avec votre entreprise cliente, un contrat de travail. Et enfin, vous serez tenu d’exécuter les missions qui vous sont confiées suivant le cahier des charges de votre client.

Une fois le travail achevé, la rémunération est envoyée à votre société de portage qui est également en charge de la rédaction de votre facture ainsi que de toutes les autres démarches administratives. Concernant le logiciel de gestion de paie, vous n’avez pas besoin de ce type de logiciel en portage car c’est la société de portage elle-même qui se charge de votre paiement. C’est à la réception du paiement qu’elle soustrait ses propres honoraires avant de vous verser votre dû mensuellement suivant les termes de votre contrat de portage.

Pour quelles raisons investir et dans quoi ?

Une fois adulte, comme tous ceux qui arrivent à cette étape de la vie, vous devez prendre vos responsabilités et gérer vous-même vos finances. Vous aurez un certain nombre de choses à payer, entre autres choses un loyer, vos repas, l’électricité et l’eau, le carburant si vous avez un véhicule, le bus, si vous prenez les transports en commun, etc. Tout dépend de vos objectifs, de vos projets, à court, moyen et long terme, mais également du train de vie que vous souhaitez mener. Mais comment payer tout cela sans revenus conséquents ? Même si vous vous contentez du minimum, vous devez quand même avoir un travail qui paie assez bien, autrement, vous allez serrer la ceinture tout au long de l’année. Donc, la solution, c’est de faire travailler votre argent, autrement dit, l’investir pour qu’il donne des fruits. La bonne nouvelle, c’est qu’il existe beaucoup d’investissements qui peuvent vous intéresser et vous n’avez qu’à choisir ceux qui vous conviennent le mieux. Si la Bourse vous attire, vous pouvez acheter des actions, c’est-à-dire des parts de capital d’une entreprise cotée en Bourse. Ou bien misez sur les ETF, des fonds indiciels qui peuvent générer des gains considérables. Que sont donc les ETF ? Un ETF, pour Exchange Traded Funds, permet d’investir sur l’ensemble d’un marché. C’est avantageux parce que les frais sont très abordables, et on ne vous demande aucun minimum de souscription. En plus, tout au long de la journée, les ETF s’échangent en toute facilité. L’immobilier est également un placement qu’il ne faut pas ignorer, car la pierre reste une valeur sûre, ce qui explique l’engouement des Français pour ce type d’investissement.

A quel âge commencer à investir ?

Il est complètement faux de penser que les placements et les investissements sont uniquement les affaires des grands, voire des personnes âgées. En réalité, les jeunes ont tout intérêt à investir le plus tôt possible. Pourquoi cela ? Parce qu’en investissement, le facteur temps est un élément primordial. Cela veut dire que plus vous placez votre argent tôt, plus il fructifie. Une autre raison pour investir jeune, c’est que votre train de vie est encore assez modeste, donc, il vous est plus facile d’investir l’argent qui vous reste une fois vos dépenses mises de côté. Puis, en investissant tôt, vous vous forgez un caractère, vous apprenez tôt à bien gérer vos finances, vous saurez plus vite à quel moment faire des retraits, vous savez vous maîtriser. De plus, même si vous perdez de l’argent à cause d’un mauvais placement, cette perte sera plus facile à compenser si vous n’avez que 20 ans, ce qui ne sera pas le cas plus tard dans la vie. En investissant jeune, vous apprendrez à faire des erreurs et à les rattraper. Dès vos 16 ans, en demandant une émancipation, vous pouvez investir en Bourse, sinon, créez un compte boursier au nom de vos parents, avec leur accord bien entendu. Pour limiter les pertes, fixez-vous des règles claires et respectez-les. A 25 ans, si vous avez déjà un travail rémunéré, vous pouvez diversifier votre portefeuille, peut-être dans l’immobilier, les œuvres d’art ou la Bourse, le choix est large. Cette diversification est importante pour éviter que la chute d’une seule valeur ne mette en danger tout votre capital. Alors, n’attendez pas pour commencer à investir, on n’est jamais trop jeune pour se lancer dans des placements. Évidemment, pour prendre le moins de risque possible, faites-vous accompagner. Demandez conseil à vos parents, questionnez-les sur ce qui a marché pour eux ou bien interrogez votre banquier. Vous pouvez également faire des recherches sur internet pour au moins connaître les bases et savoir par où commencer. Rendez-vous sur ce site pour vous informer sur les différentes méthodes d’investissement et d’épargne.

En tout cas, il est important de ne pas trop dépenser votre argent en amusements, sous prétexte que vous êtes jeune. Faites preuve de sagesse et de clairvoyance et vous ne serez jamais dans le besoin.

Responsable de la compétence et du développement intellectuel des jeunes

Les enseignants sont des piliers du système éducatif, il est de leur rôle d’améliorer le niveau des élèves. Chaque pays possède son propre système dans le développement de l’enseignement. Mais le but est unique, la principale raison de faire ce travail est de transmettre le savoir par le biais du système éducatif. Transmettre ses connaissances est le principal objectif dans l’enseignement. Il faut savoir que chaque enseignant a sa propre manière de transmettre la compétence. Votre style personnel et votre qualité pourront mener les étudiants à être compétents et instruits.

Un emploi stable et éducatif

Trouvez un métier passionnant, mais aussi un travail stable. La vie de famille est compatible avec la vie professionnelle, les jours de congé des enseignants sont en même temps que les enfants. On peut faire un travail en plus à part d’être un enseignant, ce métier peut être spécialisé. Après des années d’expérience, vous pouvez devenir formateur. Dans les secteurs publics, les salaires évoluent et progressent en fonction de votre expérience. Exercer ce travail procure de nouveaux savoirs, être enseignant ne signifie pas que l’on connaît tout, mais on apprend tous les jours. Le souci dans les maladies ne sera plus un problème, car vous aurez une assurance-maladie. Il permet d’avoir un esprit tranquille pour l’avenir dans l’arrivée de la retraite. Alors, l’avenir de tous les jeunes et les enfants dépend de vous.

Fiche métier directeur artistique

Un directeur artistique peut être comparé à un réalisateur que l’on retrouve sur un plateau de tournage. A lui d’imaginer le produit notamment en termes de style, de couleurs, de son, etc. En tant que directeur artistique, il dirige tous les travaux réalisés pour aboutir au produit final. Il doit tout vérifier et demander des modifications en cas de besoin afin que les résultats puissent correspondre aux objectifs préalablement fixés. Il est appelé à travaillé avec une équipe qui se compose généralement d’experts notamment un ou plusieurs infographistes, des rédacteurs, ainsi que des Webdesigners ou tout autre professionnel pouvant contribuer à la réalisation du projet.
Un directeur artistique se voit attribué la création de l’identité visuelle d’une marque ou d’une entreprise. L’objectif étant d’attirer le public sur le produit dont il doit faire la promotion : grâce au produit final, le public peut tout de suite identifier ce produit et l’entreprise ou la marque qui le propose. Il crée d’abord la charte graphique du client en tenant compte des exigences de celui-ci et des cibles. Il attend que la charte soit validée avant de passer à la concrétisation du projet.
En général, un directeur artistique intègre une agence de publicité ou une agence de communication. Il peut aussi être recruté dans une maison d’édition ou des entreprises dédiées à la presse. Ses missions et ses horaires peuvent donc varier en fonction de la société qui l’a embauchée. Il travaille sur des horaires réguliers mais pour respecter la date convenue pour la livraison, il peut faire des heures supplémentaires et travailler tard dans la nuit.

Quelles formations suivre pour devenir directeur artistique ?

A partir d’un diplôme Bac+2, vous pouvez accéder au métier de Directeur artistique. Mais pas n’importe quel diplôme : un diplôme en communication visuelle, édition, art, communication, vente, etc. Plusieurs années d’expérience dans ces domaines peuvent aussi être requises. En effet, certains professionnels parviennent à occuper ce poste après avoir obtenu une promotion.
Certaines qualités sont requises d’un directeur artistique notamment un esprit créatif et intuitif. Il doit avoir un grand sens artistique et un esprit éveillé et curieux. Savoir anticiper est particulièrement important, tout comme la réactivité et la ponctualité.
Le salaire d’un directeur artistique est d’aujourd’hui situé entre 2500 et 4000 euros mensuel. Il peut gagner plus à condition d’être compétent et d’avoir intégré une entreprise de grande taille. C’est un travail qui paie bien, raison de plus pour l’exercer.

Informations importantes sur le métier de directeur artistique

Il faut commencer sa carrière en tant que directeur artistique junior avant de devenir directeur artistique senior au bout de quelques années d’expérience. En tant que senior, vous serez à la tête d’une équipe que vous devriez superviser pour réussir un projet. Pour réussir à se faire embauché comme directeur artistique, il faut constituer un réseau de connaissances. Si vous êtes compétent, vos connaissances peuvent vous recommander auprès des agences de communication qui recrutent.
Après plusieurs années passées en tant que directeur artistique auprès de différentes agences de communication et à profiter de promotion, beaucoup envisagent de créer leur propre entreprise. Pendant que certains réussissent, d’autres échouent, il faut dire que la création de société n’est pas quelque chose de facile. Cela demande beaucoup de patience, d’expériences et de compétences. Qui plus est, il faut se démarquer des autres car la concurrence est particulièrement rude. En effet, les agences de communication sont nombreuses et les clients choisissent souvent les plus connues et les plus anciennes pour être certains de réussir leur projet. Pour attirer la clientèle, il convient donc de faire connaitre votre agence, pour cela, vous disposez de moyens efficaces dont Internet.
Internet est un des moyens les plus adaptés pour gagner en visibilité et construire une notoriété pour une entreprise : servez-vous de votre site, blog, comptes sociaux (Facebook, Twitter, Instagram, etc.) pour vous faire connaitre auprès du public mais surtout des clients potentiels.

Courtier en gestion de patrimoine

La majeure partie du travail d’un courtier en gestion de patrimoine consiste à conseiller ses clients sur les options financières qui répondent à leurs besoins et à leur profil. Cela peut être un contrat d’assurance à long terme ou encore une alternative de défiscalisation avantageuse.

L’avantage d’engager un courtier en gestion de patrimoine est qu’il possède un réseau constitué de professionnels de renom. De plus, il a une parfaite connaissance du marché et peut identifier les subtilités de chaque offre.

Gestionnaire de patrimoine

Un gestionnaire de patrimoine ou de fortune est un conseiller rémunéré par les clients physiques ou les entreprises qui l’engagent. Cette rémunération équivaut à un pourcentage d’actifs gérés par ses clients. Vous pouvez avoir recours aux services de ce spécialiste. Il vous donnera des conseils avisés sur votre situation financière. Il s’occupe également de la gestion des plans de retraite, de l’achat des actions, etc.

L’avantage d’engager un gestionnaire de fortune est qu’il est exclusivement au service de son client. Le risque de conflits d’intérêts est donc écarté. En outre, il ne risque pas de vendre un produit financier dans un but commercial et lucratif. En effet, la moindre erreur de sa part lui fera encourir certaines sanctions.

Que vous optiez pour un courtier ou un gestionnaire de patrimoine, autant que possible, collaborez avec un professionnel exerçant dans votre région. Cette proximité vous permet de le contacter rapidement. Si vous êtes à Vitré, en Ille et Vilaine, vous pouvez contacter Pressurtis. De plus, confiez toujours votre patrimoine à un professionnel reconnu dans son secteur. Il doit avoir bonne réputation. Enfin, le bon interlocuteur est celui qui est à votre écoute et est disponible pour répondre à vos questions.

Quels sont les différents types d’avocat des affaires ?

Il y a d’abord les avocats corporatistes qui interviennent dans les litiges liés à la création d’une société, à la rédaction des statuts, à l’élaboration des registres des assemblées générales, à la modification de la structure de l’entreprise, à la cession ou la transmission d’une entreprise. Ils interviennent lorsque les litiges concernent les dirigeants, les associés et les actionnaires.
Puis, il y a les avocats en contrats commerciaux qui interviennent à la rédaction, la modification ou la rupture d’un contrat de vente, de bail commercial, de contrat commercial ou de contrat de prestation de service.
Enfin, il y a les avocats contentieux qui interviennent en cas de litiges commerciaux ou corporate. Les recouvrements de factures et les contentieux de paiement sont leur domaine d’intervention.

Dans quels cas vous faire aider par un avocat ?

Les contentieux commerciaux et contractuels sont les cas les plus courants qui poussent les entreprises à contacter un avocat des affaires. Lorsque la relation est tendue entre les deux partenaires, l’intervention d’un agent externe est parfois nécessaire. Parmi les professionnels dans le secteur, vous pouvez faire appel au Cabinet Chakrina. Son équipe intervient dans divers domaines, en France et à l’international. Vous pouvez faire appel à un avocat en cas de problème lié à l’échéancier de paiement, au délai et à la conformité des livraisons, à la réalisation des services, au manquement à une obligation ou une clause d’exclusivité. Vous pouvez également vous faire assister par un avocat en cas de rupture brutale d’un contrat de partenariat ou d’un bail commercial. Enfin, l’avocat peut intervenir pour effectuer une mise en demeure ou une injonction de payer pour recouvrement de factures.

Deux catégories de profession

Avant de lancer votre activité, vous devez en premier lieu connaître la catégorie à laquelle appartient votre profession libérale. Il en existe deux dont les professions réglementées d’un côté, et les professions non réglementées de l’autre côté. Les métiers appartenant à la première catégorie sont soumis à un ordre professionnel et à des règles spécifiques. On trouve dans celle-ci les métiers comme avocat, sage-femme, géomètre, architecte, médecin, etc. Quant aux professions non réglementées, aucun diplôme n’est nécessaire. Et, vous n’avez pas besoin d’appartenir à un ordre quelconque pour pouvoir vous installer. On trouve dans cette seconde catégorie des professions intellectuelles, culturelles et artistiques comme rédacteur, secrétaire à domicile, traducteur, webmaster, etc.

Le choix du statut juridique

Il est possible d’exercer en libéral avec plusieurs statuts juridiques. Il ne faut pas oublier que de ce choix dépend l’imposition fiscale de votre activité. Il est conseillé de se faire guider par des professionnels de gestion agréés comme aga22.fr pour bénéficier d’un accompagnement fiscal. Cette association propose divers services dédiés à l’imposition des activités libérales des professionnels bretons. Son aide vous permet d’optimiser votre situation fiscale. Il est possible de s’installer en entreprise individuelle (EI) si vous projetez d’entreprendre seul et ne prévoyez pas de réaliser un chiffre d’affaires trop important. Mais, vous pouvez aussi créer une société. Cette option vous offre une plus grande souplesse dans le développement de votre activité. Pour les professions réglementées, il faut opter soit pour une Société d’Exercice Libéral (SEL), soit pour une Société civile professionnelle (SCP).